Ministre en chef du roi George III, George Grenville, employé ce concept en 1765 par rapport à la Loi sur le timbre. Il a insisté pour que tous les colons étaient représentés au Parlement en raison de leur sujets anglais, peu importe où ils habitent. Grenville a tenté de contrer la position des colons que le roi et le Parlement n'avaient aucun le pouvoir de taxer, car les Américains avaient pas dûment élus cette législature.